Au Burundi, plus de 90% des Start-ups opèrent dans le secteur informel et la plupart d'entre elles font faillite très tôt. De plus, les acteurs du secteur informel n'ont pas accès aux privilèges du secteur formel tels que la formation, le capital et le marché. La plupart d'entre eux sont des jeunes qui viennent des bidonvilles, d'autres viennent de terminer leurs études secondaires ou universitaires, sans aucune expérience professionnelle et se retrouvent parfois engloutis par les géants du marché.